Tout d'abord, cher lecteur, je tiens à te présenter mes plus amples excuses concernant mon absence in-to-lé-rable et i-nad-mi-ssi-ble, due à cause de boulot de merde qui me pompe une majorité de ma vie privée (et c'est la que tu te dis qu'avoir un copain à 3000 bornes peut s'avérer pratique).
Je n'ai pas de véritable motif à t'apporter, à toi, O mon grand ami qui me fait l'honneur de lire ces quelques lignes (en gros les quatres pèlerins qui traînent de temps en temps, merci les mecs, et petite dédicace au petit coquin qui à tapé "tiicaaparis fuck", bien tenté mon ami) Mais sache que j'ai aujourd'hui, une véritable volonté de communiquer avec toi, d'échanger avec toi, bref, de vivre ma vie (d'isolée sans vie sociale, perdue au milieu de mes strats de com) avec toi, et de plus particulièrement partager avec toi cette irrésistible histoire qui me fut racontée aujourd'hui.
Today mon prof, que nous appellerons Bobby (en référence à son surnom officiel issu d'une série américaine cultissime des années 80-90) me raconta une anecdote après avoir critiqué une fois de plus mon short. (sache cher lecteur que je suis abonnée aux shorts. J'en met le matin, l'après-midi, le soir, et la nuit même, en Hiver comme en Été Je suis comme fétichiste des shorts mais sans l'aspect sexe derrière, faut pas charrier. Bon après pour l'explication psychanalytique....) à propos d'une de ces ancienne élève.
A l'époque il fut prof d'amphi, avec le micro, tutti quanti toussa toussa. Au moment ou, pour détendre l'atmosphère il s'essaya au lancer de micro façon Philippe Risoli, il tomba (presque) nez à nez, face à l'entrejambe de la jeune fille en question, qui portait une jupe et qui n'avait pas de culotte.
Alors premièrement, est-ce que, comme moi, ta première réaction à été "mais euh, elle doit avoir froid nan?" ou "mais euh c'est un peu crade ?" (Bon si ta réaction est plutôt dans le style "ah trooooop biennnnn" je te conseille gentiment de t'orienter vers un site de partage de vidéo, commençant par Y et finissant par N qui saura satisfaire tout tes besoins, j'en suis certaine, ne me remercie pas je sais, je t'aime aussi).
Sauf que l'histoire n'est pas fini. Parce que, déjà de une, c'est pas que la nana avait oublié de mettre une culotte, mais c'est qu'elle n'en mettait jamais, et qu'en plus, en PLUS, elle ouvrait pas, elle écartait les jambes, en mode "larguez les amarres" ou plus simplement "ouvre la porte" ! Tu vois le topo ? C'est pas Sharon Stone mais + le Dalai-Lama, en pose yoga en train de faire sa prière...
Mon prof continua l'anecdote face à moi, qui fut morte de rire, croyant à peine à l'histoire qui venait de me raconter. La nana était pas moche hein, et pas style rastapute non plus. Que nenni, elle présentait plutôt bien de loin (et debout surtout). Sauf que une fois assise, et va-zy-que-je-montre etc. Et que la jeune fille se tenait ainsi dans toute les matière, y compris celles ou l'enseignant était du même sexe.
Mon prof à fini par lui expliquer, surtout lorsque son entreprise d'accueil fini par expliquer au professeur que son apprentie avait un "problème" et à fini par faire passer la chose en langage codé "oui écoutez, Melle X.....Nous sommes satisfait de voire sa disponibilité, ainsi que sa proximité avec l'équipe, néanmoins, ses atouts ne semble guère correspondre à notre profil".
Voila pour l'histoire, tout ça pour dire mon petit lecteur préféré que, merde, t'imagine ? La nana, en amphi, en réunion, dans le tro-mé.....
ELLE AVAIT PAS DE CULOTTE !!!